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La musique, un langage universel en 21 exemples

Là où il y a de l’humain, il y a de la musique. Vous pouvez l’écouter partout sur la planète sans devoir recourir à un interprète. À l’aide d’extraits sonores, cet article illustre 21 manières de pouvoir s’accorder, quelles que soient votre langue, votre culture et vos compétences musicales. Une expérience unique et originale. Je vous souhaite un très agréable moment d’écoute…

© Gerd Altmann (www.pixabay.com)

Selon Marcel Proust dans La Prisonnière, la musique est peut-être l’exemple unique de ce qu’aurait pu être la communication des âmes s’il n’y avait pas eu l’invention du langage, la formation des mots ou l’analyse des idées.

Quel est donc ce miracle, et à partir de quand les vibrations acoustiques sont-elles musique et non bruit ? Un chat qui se hasarde sur le clavier d’un piano crée-t-il de la musique ? Sans doute que non, et si la musique représente le langage des âmes, la définir paraît un exercice vraiment difficile tant elle renvoie à la complexité de notre nature dans ses multiples aspects neurosensoriels, rationnels, émotionnels et spirituels. Je vous invite plutôt à un tour d’horizon avec 21 expériences concrètes, afin de vous permettre d’en percevoir les différentes dimensions. À vos écouteurs !

Quelques conseils avant l’écoute des plages musicales : pour éviter une cacophonie, mettre l’écoute sur pause avant de passer à la lecture du morceau suivant (en cliquant sur la partie gauche du lecteur) ; appuyer sur la croix en haut à droite pour faire disparaître l’invite de Spotify et voir réapparaître la référence du morceau ; de simples écouteurs permettent d’apprécier mieux la diffusion stéréophonique ; ne pas hésiter à écouter l’extrait proposé pendant la lecture du texte correspondant ; la musique est multidimensionnelle et s’apprécie en écoutant séparément chaque note, chaque timbre de voix ou d’instrument, chaque accord, chaque tempo ; et pour terminer, en écoutant les extraits grâce aux widgets de la plateforme Spotify, vous acceptez les conditions générales de ladite plateforme que vous pouvez lire en cliquant sur le lien suivant : Widget Terms of Use

1. Le silence

Au risque de vous surprendre, commençons par le silence. Mais attention, le silence absolu n’existe pas sur terre. En effet, une ambiance calme perçue comme silencieuse représente malgré tout 30 à 40 dB. Il y a donc « matière » à écouter le silence.

Le silence a un effet bénéfique sur le stress, et permet de méditer, d’écouter sa musique intérieure, et par l’introspection, de communiquer avec son âme.

Illustrer le silence avec une plage sonore serait absurde. C’est pourquoi je vous propose d’écouter ce qu’on appelle un bruit rose. Il est parfois utilisé comme thérapie sonore pour étouffer la perception des acouphènes chez des personnes réellement perturbées par des sifflements ou bourdonnements d’oreille.

2. Les compositions de la nature

Elles sont tellement variées et s’offrent gratuitement à nos oreilles dès que nous nous éloignons des villes. Tantôt de source animale comme les chants d’oiseaux, tantôt provoquées pas des phénomènes physiques comme l’épanchement des vagues de la mer, elles sont pour la plupart apaisantes. Nous pouvons être touchés par le bruit des arbres : en forêts ou solitaires, leurs mélodies nous parlent… Parfois les manifestations sonores de la nature nous font craindre leur force, à l’instar d’un coup de tonnerre ou de l’éboulement d’une avalanche.

Laissez-vous emporter quelque temps par la douceur et les vertus relaxantes des gazouillis d’oiseaux dans l’extrait ci-dessous…

3. La perception tactile

La musique s’écoute également par la peau ! Les pizzicati dans les notes graves d’une contrebasse procurent une sensation de résonance dans le corps et confèrent à certains morceaux de jazz ou de musique classique une dimension profonde et chaleureuse. Les bols tibétains diffusent eux aussi leurs vibrations sonores à travers le corps lorsqu’ils sont utilisés pour un massage sonore bienfaisant.

4. L’approche rythmique

Le rythme est une musique en soi. D’ailleurs, la discographie révèle un répertoire important d’oeuvres pour percussions seules. Les variations rythmiques de frappes, chocs et battements d’objets ou d’instruments peuvent nous emporter, et même nous envoûter. Nous pouvons éveiller un enfant à la musique dès son plus jeune âge, à l’aide de jouets sous forme de hochets, maracas et petits tambours, ou plus simplement, en le laissant frapper des objets familiers.

Tous les genres musicaux sont susceptibles d’exploiter les empreintes rythmiques, et certains peut-être plus que d’autres, comme les musiques africaines et orientales. L’extrait ci-dessous reprend une composition de Brent Lewis qui a traversé l’Afrique pour y étudier les racines de la musique africaine.

5. L’approche mélodique

C’est probablement celle qui vient à l’esprit en premier lieu lorsqu’on évoque la musique. Une mélodie peut se jouer ou être chantée une seule note à la fois. Elle se mémorise d’ailleurs assez facilement. Certaines sont tellement populaires et ancrées dans notre mémoire collective que peu de gens se demandent encore qui en sont les compositeurs officiels.

Connaissez-vous par exemple la petite chapelle à Oberndorf en Autriche ? Elle commémore un chant de Noël célèbre, composé sur un accompagnement de guitare en 1818 par Franz Xaver Gruber. Cette mélodie a fait rapidement le tour du monde et l’oeuvre est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO. Je vous propose d’en écouter une version pour illustrer combien une mélodie peut être douce et communicative.

6. Le discours harmonique

Trois petites notes suffisent à elles seules pour susciter des résonances émotionnelles différentes selon qu’elles forment un accord en mode mineur ou majeur. Une coloration mineure ouvre son monde intérieur et inspire un sentiment de douceur, de tendresse, de mélancolie, d’inassouvissement, et parfois de tension et d’orage. La tonalité majeure, plus extravertie, nourrit quant à elle une sensation de soulagement, d’allégresse, d’accomplissement et de grandeur. De toute évidence, l’humain est sensible au discours harmonique.

C’est ici l’occasion de rendre hommage au compositeur Franz Schubert qui, sur le plan harmonique, oppose de manière constante les modes mineur et majeur. Ce faisant, il démontre la magnificence des modulations musicales.

7. L’harmonie malgré les différences

Des mélodies distinctes peuvent se mélanger et former des accords harmonieux. Vous rappelez-vous avoir jamais chanté Frère Jacques sous forme de canon, où chaque voix répète exactement la même chanson de manière différée ?

Dans Rigoletto de Giuseppe Verdi, il y a dans le 3ème acte un quatuor resplendissant, constituant d’ailleurs un florilège des oeuvres d’opéra. Chaque voix apporte sa caractéristique musicale propre, et l’ensemble vous procure de véritables frissons au moment de l’apogée. L’extrait suivant vous permet d’écouter Bella figlia dell’amor à votre guise, en vous focalisant lors de chaque écoute sur une voix en particulier pour votre plus grand plaisir.

8. Le discours dissonant

Dissonance ne signifie pas nécessairement cacophonie. Au contraire, elle peut alimenter des envolées lyriques et romantiques, exprimant à sa façon les tourments de l’âme, ou encore, l’opposition entre ce qui est espéré et la réalité. À ce titre, les Vier Letzte Lieder (Quatre Derniers Chants) de Richard Strauss peuvent être une découverte particulièrement belle et intéressante. Je vous en propose un extrait…

9. La mémoire du passé

Chacun a son histoire gorgée de souvenirs heureux et de chagrins. Une personne, un lieu, une circonstance… Notre mémoire émotionnelle est ainsi faite : une musique entendue par hasard à la radio ou dans une boutique est capable de faire resurgir instantanément, comme par magie, une réminiscence enfouie au plus profond de soi, et nous faire plonger automatiquement dans le passé.

Il est impossible d’illustrer ceci par un exemple universel, car chaque personne dispose de ses propres expériences émotionnelles.

J’ai choisi l’extrait que voici pour rendre hommage à Charles Aznavour, un auteur et compositeur capable d’interpréter ainsi son titre « La bohème« , au point de réveiller en nous – surtout les moins jeunes – un sentiment de tristesse causé par l’éloignement de notre jouvence , car « la bohème, ça voulait dire… on a vingt ans… ».

10. Faire écho à l’émotion du moment

N’avez-vous jamais fredonné une mélodie selon votre état d’humeur ? Oui, la musique peut sublimer un sentiment de joie ou de tristesse, et on peut aussi l’aimer dans sa solitude comme une tendre amie ou en guise de ressourcement intérieur.

La musique permet aussi de s’évader ou de se relaxer, et nous fait ressentir des émotions si différentes selon l’instant ou le morceau choisi. L’extrait suivant a été joué comme finale d’une pièce de théâtre où les deux protagonistes dansaient dans la joie de leur amour et complicité.

11. Faire émerger de l’émotion

La musique n’est pas une personne, et pourtant, elle est capable de distiller des émotions, parce que l’être humain y fait résonance. Sur grand écran, elle occupe une place importante, et bien souvent, on se souvient d’un film car on a aimé sa musique, et surtout l’émotion qu’elle a sublimée en soi. Ainsi, elle confère à l’image, au thème et à l’espace une dimension supplémentaire en les amplifiant par le biais d’un langage émotionnel. Les producteurs d’émissions radiodiffusées ou télévisées l’ont bien compris : ils consacrent tout le budget et le soin nécessaires pour le générique musical de l’émission qui devient en quelque sorte la signature de leur programme.

Radu Mihaileanu, le réalisateur du film « Vas, vis et deviens », a été bien inspiré en confiant à Armand Amar la composition de la musique de ce long-métrage véritablement poignant, racontant l’histoire d’un jeune garçon séparé de sa mère et de son pays, perdant ainsi ses racines les plus profondes… Dans cet extrait, les notes graves du violoncelle illustrent de manière déchirante les larmes silencieuses, tandis que les notes plus aiguës du violon représentent les lamentations de l’âme, le tout étant rythmé par les pizzicati d’une contrebasse pour évoquer les battements d’un coeur affligé.

12. Inciter à la bonne humeur

Une humeur n’est pas une émotion en tant que telle. Isabelle Filliozat, dans son ouvrage « Que se passe-t-il en moi ? » définit l’humeur comme un état passager, une ambiance affective qui colore le vécu et qui dure de quelques heures à quelques jours.

Certaines chansons nous incitent à la bonne humeur lorsqu’elles répondent à certains critères, comme l’utilisation d’une tonalité majeure (voir plus haut), l’expression de paroles positives et un rythme au tempo entraînant. Ne nous privons donc pas de l’extrait suivant :

13. Partager ce qu’on aime

Il est intéressant de se demander pourquoi on aime partager « ce » qu’on aime avec « ceux » qu’on aime. Peut-être est-il rassurant pour l’être humain de se sentir appartenir à un groupe ou à une communauté, et de concrétiser ce fait par différents moyens de communication. Parmi ceux-ci, le partage réciproque de morceaux de musique, et l’émotion qu’ils procurent, permettent de renforcer ses liens avec son « clan ». Pour les mêmes raisons, et cela concerne aussi d’autres domaines comme l’habillement ou la décoration, certaines personnes accordent de l’importance à ce qui est « tendance », un mot cher au marketing. Dans ce qui précède, le plus important n’est-il pas de rester soi-même et de déterminer pour son propre chef ce qui est de « bon » ou de « mauvais » goût, et de forger ainsi sa personnalité ?

Avec leur titre « Despacito » (2017), Luis Fonsi et Daddy Yankee ont ainsi battu le record absolu sur Youtube, avec pas moins de 7 billions de vues, de quoi surpasser largement Whitney Houston, avec sa chanson « I will always love you » (1992) qui a atteint récemment 1 billion de vues (source Billboard , publiée le 27/10/2020).

Assurément, ce single latino-américain aux paroles « caliente » et son clip vidéo ont fait l’objet d’un nombre historique de partages.

14. L’exaltation grâce au concert en live

Il suffit d’écouter l’extrait suivant pour se rendre compte à quel point un spectacle en public peut enthousiasmer l’assistance. C’est bien plus que simplement y croiser des gens partageant le même centre d’intérêt. L’artiste, lui-même transporté par la chaleur du public, comme un phénomène de résonance, démultiplie les effets de sa prestation.

15. La méditation

Comme le disait Éric-Emmanuel Schmitt au cours d’une interview accordée à Evene.fr en octobre 2005, « la musique nous aide à construire nos vies spirituelles, nous apaise, nous console, nous redonne de la joie, nous rend allègre, nous fait danser, chanter. »

Ceci est particulièrement vrai lorsque nous écoutons le chœur des moines bénédictins de Chevetogne dans l’extrait musical ci-dessous : saluons la beauté de ce chant polyphonique aux vertus apaisantes et réconfortantes.

16. La concentration

Est-il possible de nous concentrer mieux sur nos tâches lorsque nous écoutons de la musique ? Certains diront oui, comme par exemple lorsqu’ils lisent un livre ou lorsqu’ils exécutent un travail répétitif. D’autres au contraire répondront que la musique les empêche de réfléchir, de mémoriser ou d’être créatifs. Des élèves étudient avec des écouteurs dans les oreilles, tandis que d’autres utilisent des casques anti-bruits.

Mais que nous apprennent les neurosciences cognitives sur le sujet ? Lors d’une interview accordée à Musiq3 en octobre dernier, le professeur Emmanuel Bigand, éminent spécialiste dans ce domaine, explique que « la musique active tout un ensemble de réseaux qui vont des couches corticales jusqu’à des couches très archaïques du cerveau ». Il évoque même une « symphonie neuronale » capable de produire des effets bénéfiques sur le cerveau et de « booster notre fonctionnement cognitif en général ».

En effet, le cerveau est bondé de neurones interagissant les uns avec les autres par le biais de neurotransmetteurs qui sont en réalité des médiateurs chimiques. Selon leur nature, ils peuvent avoir un effet tantôt inhibant, tantôt excitateur. Ainsi, selon Emmanuel Bigand, une musique qui nous est agréable activera les circuits de la récompense. Le cerveau libère alors de la dopamine procurant une sensation de plaisir ou de bien-être, plus favorables à la concentration que le stress ou l’anxiété. En outre, la satisfaction libère de la sérotonine, autre médiateur chimique qui favorise la concentration.

Mais on ne peut pas isoler ainsi les retentissements de nos seules perceptions auditives, encore faut-il tenir compte de l’impact de nos résurgences intérieures, comme notre mémoire émotionnelle ou notre motivation, capables d’influencer positivement ou négativement nos capacités cognitives.

Tout cela est profondément propre à l’individu à un moment donné. Somme toute, chacun est différent et apprendra par lui-même quelles sont les musiques susceptibles de lui apporter, selon les circonstances, un bénéfice en termes de concentration. Tout l’art consiste alors à ne pas se laisser envahir par ce que j’appellerais une « cacophonie neurochimique », mais de se laisser insuffler cette « symphonie neuronale » chère à Emmanuel Bigand.

Attention quand même, les paroles d’une chanson et le timbre de la voix humaine risquent plutôt de perturber votre attention : si vous devez vous concentrer, mieux vaut alors choisir une musique instrumentale ou orchestrale. Pour cette raison, j’apprécie particulièrement les œuvres du répertoire baroque aux effets généralement plus réguliers, comme dans l’exemple que voici :

17. Versions et reprises

Concernant les versions, j’aime comparer différentes interprétations d’une même oeuvre de musique ancienne sur base d’une partition identique. Ma préférence dépendra de plusieurs facteurs : la touche artistique de l’interprète, le tempo emprunté, la qualité de l’enregistrement, le rendu du son avec la qualité des basses, etc.

Et puis, il y a les reprises… Les chansons et pièces musicales populaires sont parfois reproduites par d’autres artistes que ceux d’origine, ce qui nous permet alors de les explorer d’une façon nouvelle, ou de préférer l’oeuvre originale. Nous pouvons aussi découvrir pour la première fois un morceau ancien grâce à la sortie de sa reprise.

Par l’exemple ci-dessous, je veux rendre hommage à deux artistes belges, le chanteur Salvatore Adamo et le rappeur Eddy Ape. Ils interprètent ensemble cette ancienne chanson d’Adamo intitulée « Les filles du bord de mer », mais revue par le rappeur avec, selon moi, un talent exceptionnel. Un grand bravo à tous les deux !

18. Le concours musical

En général, les concours rencontrent pas mal de succès. Nous les connaissons dans différents domaines : le sport, la littérature, le jeu, la beauté, la politique, l’éloquence, etc. Voir concourir des protagonistes – individuellement ou en équipe – a ce petit côté excitant, surtout lorsqu’ils excellent et rivalisent dans un domaine qui nous passionne. La passion, ça y est, le mot est lâché !

La musique n’y fait pas exception ! Qui ne connaît pas l’émission télévisée « The Voice » ? Les mélomanes avertis aimant la musique classique connaîtront certainement, parmi tant d’autres, le « Concours Reine Elisabeth » à Bruxelles, ou encore le « Concours international Mozart » du Mozarteum à Salzbourg. Dans un autre genre musical, il y a par exemple à Paris le « Concours national de jazz de la Défense ». Au total, tous les concours musicaux de par le monde nous permettent d’écouter des musiques exécutées par des interprètes de grande qualité.

Voici un deuxième cocorico belge avec l’extrait ci-dessous, provenant du film « Le Maître de musique » réalisé par Gérard Corbiau, dans lequel un des élèves du « Maître » s’opposera au protégé de son rival à travers un concours lyrique :

19. La musicothérapie

La musicothérapie, qu’elle soit active, réceptive ou de détente psycho-musicale, tisse un lien entre le sujet et son thérapeute, et permet d’explorer différents domaines de la rééducation. Dans certains cas, elle permet d’atténuer la sensation de douleur.

2O. Les genres musicaux

Parmi les différentes expressions de la musique, le style musical est le reflet d’une partie de nous. Avez-vous jamais compté le nombre de genres musicaux ? Pour être honnête, je pensais qu’il y en avait tout au plus une (petite) cinquantaine… Grand maximum ! Citons le jazz, le rock, la musique classique et baroque, l’opéra, l’électro, les musiques du monde, la chanson française, la musique d’ambiance, le new age, le reggae, le bossa nova, le swing, le chant chorale, le tango, la valse, …

Une petite visite sur Wikipedia m’a littéralement stupéfait : à l’heure où je rédige cet article, j’ai pu y dénombrer 709 genres musicaux différents ! De quoi satisfaire tout le monde… et je trouve cela extraordinaire.

Je ne pourrais pas vous faire écouter chacun des genres musicaux, mais j’ai choisi un extrait d’un genre que je n’ai pas cité plus haut, intitulé en anglais la « soul music », ce qui signifie la musique de l’âme…

21. Sa propre composition

Avant de poursuivre, je tiens à remercier tous les auteurs, compositeurs, interprètes et ingénieurs du son qui m’ont permis d’illustrer différentes façons d’expérimenter la musique parmi tant d’autres.

En guise de finale, nous pouvons composer nous-mêmes et goûter au plaisir de la création. Pour un artiste amateur ou professionnel, rien n’est plus précieux que sa propre composition musicale, car elle exprime ses émotions les plus intimes. Partager et diffuser le produit de sa création peut se révéler carrément jouissif.

C’est avec une certaine émotion que je partage une composition de mon fils lorsqu’il avait 19 ans, intitulée « La Moldeva De Ma Vie » :

© Louis Marneth – Enregistrement déposé à la SABAM sous la référence 1109-00001-09286-8565. Version complète avec l’aimable autorisation du compositeur pour quotiz.com. Tous droits réservés.

Quelle expérience musicale aimeriez-vous partager ?

Maintenant, c’est à vous de jouer ! Les 21 exemples illustrés ci-dessus ne sont pas exhaustifs. Je vous invite donc à poster un commentaire ci-dessous, en décrivant une expérience musicale qui vous a particulièrement touché(e), et à copier le lien qui renvoie vers votre musique préférée, afin d’en faire profiter tous les lecteurs… D’avance, je vous remercie de votre participation !

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